top of page
kjg_2.jpg

D’ici là et au-delà (détail), 2017.

Installation: dessin, moulage et objets trouvés.

kj_gervais_1.jpg
Pourquoi on n’enterre pas les mouches?, 2021.
Détail d'une intervention avec le collectif ON AURA, Faute de moyens on aura au moins les uns, les unes et tous les autres, 2e édition (interventions à relais du collectif dans un appartement de la rue Sainte-Marguerite, Montréal).

KATHERINE-JOSÉE GERVAIS

Ma pratique, autant personnelle que collective, est multidisciplinaire (dessin, performance, installation et textualité). Elle s’appuie sur une observation des interactions humaines et sur un questionnement des limites de l’autoreprésentation. L’objet, l’espace, le corps deviennent des supports permettant de transmettre un commentaire sur nos habitudes de vie et nos ressemblances inavouées parfois avec humour et dérision, parfois en éclairant certains coins sombres de notre psyché individuelle et collective. Je revisite les lieux communs par des symboles universaux ainsi que les conventions sociales dans des récits performatifs se situant entre la confession et l’autofiction. Au travers d’une stratégie non linéaire de la narration, je présente des fragments que l’observateur.trice pourra réagencer à loisir. De fait, ma recherche-création aborde la notion d’auteur, l’acte performatif, l’élaboration du personnage-artiste et l’authenticité de sa parole. Mes chroniques de la banalité révèlent une posture critique autant politique que poétique; j'y formule un commentaire sur les relations humaines et une réflexion sur les rapports que j'entretiens entre les différentes sphères de mon identité, que ce soit mon rôle d’artiste, de mère, d’amante ou, tout simplement, de citoyenne. Dernièrement, mon processus créatif donne une large part à l’imprévu et à la rencontre avec des citoyens.nes de toutes communautés lors de performances incluant le public et permettant une médiation de l’oeuvre en direct. 

SITE WEB

CV

kjg_3.jpg

3 x 21 grammes (parce qu’on dit que pour vivre, il faut toujours mourir un peu), 2014.

Performance de 3 heures, suivie de l’exposition de l’installation.

bottom of page